Assemblée Générale 2020

L’AFIAC organise son Assemblée Générale le jeudi 30 janvier 2020, à 19 h à la Salle des Fêtes de Fiac.

Ordre du jour :

  • Rapports moral et financier 2019
  • Questions et débat sur l’année écoulée
  • Perspectives 2020
  • Démission de l’ancien Conseil d’administration
  • Élection du nouveau Conseil d’administration

Désireux de vous présenter un bilan de l’ensemble de nos activités et de motiver de nouvelles bonnes volontés, nous comptons sur la présence nombreuse et enthousiaste des adhérents et sympathisants.

Nous serons heureux de partager, à l’issue de l’assemblée générale, une table espagnole tous ensemble.

L’AFIAC à Damiatte | réunion d’information

En 2020, l’AFIAC s’installera à Damiatte !

Le prochain festival « Des artistes chez l’habitant » s’y déroulera du vendredi 26 au dimanche 28 juin 2020, sur le thème « Color Block ».

Pour préparer cette nouvelle édition, nous sommes en recherche des familles (ou personnes seules) qui accueilleront les artistes, et nous organisons une réunion d’information le jeudi 23 janvier, à 19 heures, autour d’un buffet.

Lors de cette soirée nous présenterons l’association et le festival en détail, et des familles ayant déjà reçu des artistes partageront avec nous cette expérience exceptionnelle.

Pratique

jeudi 23 janvier 2020 à 19h

DAMIATTE (81) – Salle des fêtes
plan d’accès

En partenariat avec le Mairie de Damiatte

AFIAC/Café | Découvertes sonores

DAMIATTE (81) – Salle des fêtes
le jeudi 12 décembre 2019 à 21h

Soirée de découvertes de la création sonore et radiophonique contemporaine

Festival « Rien à voir ! » (c) Bricoles

Une plongée dans la création sonore. Cet art doté d’une puissance évocatrice ouvre à un vaste imaginaire tout en posant un regard singulier sur le monde, dans une multiplicité de formes et d’écritures.

Venez les yeux fermés !

Au programme (1 heure de diffusion) :

  • « Amazônia », de Félix Blume
  • « Bush Songs », de Benoît Bories
  • « Le chasseur de silence », d’Aurélien Frances

Soirée animée par l’association Bricoles – fabrication sonore
http://www.bricoles.org/
https://www.facebook.com/association.bricoles

Pratique

le jeudi 12 décembre 2019 à 21h

DAMIATTE (81) – Salle des fêtes
plan d’accès

Résidence | Faire suffire

Faire Suffire, une exposition proposée par Célie Falières, artiste accueillie en résidence de création à l’école primaire Odette et Gaston Vedel, Saint-Paul-Cap-de-Joux (81).

Vernissage le lundi 9 décembre 2019, à 18h30

Exposition du 9 décembre 2019 au 31 janvier 2020

Faire Suffire (c) Célie Falières

Célie Falières

Célie Falières (1987) vit et travaille en Aveyron.

En 2012, elle obtient un DNSEP à la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg. Depuis, elle développe un travail de sculpture et d’installation où se mêle le pérenne et le périssable. Les objets qu’elle fabrique constituent un vocabulaire de formes, toujours articulé autour d’un contexte, d’un lieu et de ses ressources propres. Il s’agit de palier à l’insuffisance des mots en fabriquant des objets ; d’inventorier les volumes et les divers états de matière pour appréhender le réel à l’échelle du corps. Utilisant le répertoire des sciences naturelles, humaines ou du folklore, elle mâche, brûle, modèle, taille, cuit, fond, pique, digère et ce faisant cherche des points d’équilibre.

A noter

En parallèle, l’exposition Rock Solid de Célie Falières à Fiac est ouverte jusqu’au 31 janvier 2020.
Plus d’informations

Pratique

Ecole Odette et Gaston Vedel / 11 rue Victor Hugo / 81220 Saint-Paul Cap de Joux
Plan d’accès

Exposition | Rock Solid

21 novembre 2019 >> 31 janvier 2020 à FIAC

Salle d’exposition de L’AFIAC (bureau de Poste de Fiac) / Vernissage le jeudi 21 novembre à 18h00

Exposition de Célie Falières

Célie Falières (1987) vit et travaille en Aveyron.

En 2012, elle obtient un DNSEP à la Haute École des Arts du Rhin de Strasbourg. Depuis, elle développe un travail de sculpture et d’installation où se mêle le pérenne et le périssable. Les objets qu’elle fabrique constituent un vocabulaire de formes, toujours articulé autour d’un contexte, d’un lieu et de ses ressources propres. Il s’agit de palier à l’insuffisance des mots en fabriquant des objets ; d’inventorier les volumes et les divers états de matière pour appréhender le réel à l’échelle du corps. Utilisant le répertoire des sciences naturelles, humaines ou du folklore, elle mâche, brûle, modèle, taille, cuit, fond, pique, digère et ce faisant cherche des points d’équilibre.

Célie Falières était présente pour la vingtième édition du festival « Des artistes chez l’habitant »

Retour en images | Histoire(s)

La vingtième édition du festival « Des artistes chez l’habitant » s’est déroulé du 13 au 15 septembre 2019.

Retour en quelques images sur cette année exceptionnelle.

Images (c) AFIAC Lise Bardou Véronique Carré Laurence Danjou Jules Talens

On y était

20 ans d’art et d’histoire<s>

Pour l’aider à souffler ses 20 bougies, l’AFIAC a sollicité les artistes qui se sont penchés sur son berceau et qui l’ont aidée à grandir, depuis la première édition du festival « + si affinité » au siècle dernier, jusqu’aux plus récentes années. L’exposition « On y était », en marge de l’édition 2019, présente les œuvres et les témoignages de celles et ceux qui nous ont fait l’amitié de répondre présent.

La forme singulière de la proposition de l’AFIAC s’est naturellement montrée féconde en rencontres artistiques et humaines d’une grande richesse, et on en trouvera ici les échos, sur la bande sonore d’une vidéo, dans l’intimité d’un texte, ou derrière le clin d’œil complice d’une boite à souvenirs, par exemple.

Au delà de la nostalgie qui en émane, « On y était » se veut avant tout un hommage et un témoignage de gratitude à l’attention de tous les artistes qui nous ont accordé leur confiance au cours de ces 20 (premières) années.

Les artistes

  • Thierry Boyer
  • La cellule (Becquemin&Sagot)
  • Enna Chaton
  • Marie-Johanna Cornut
  • Nicolas Daubanes & Pablo Garcia
  • Anne-Marie Jeannou
  • Pierre Mache 
  • Edwige Mandrou
  • Laurent Pernel
  • Jeanne Susplugas
  • Floryan Varennes

Des artistes chez l’habitant 2019 – Histoire(s)

Le festival « des artistes chez l’habitant » revient les 13, 14 et 15 septembre 2019 à FIAC, pour sa 20ème édition.

Thème : Histoire(s)
Commissariat général : Antoine Marchand
Commissaires invités : Emmanuelle Hamon et Paul de Sorbier

Les artistes invités

Le programme

Vendredi 13 septembre

  • 18h > Vernissage, rue de la Piscine. Conception du buffet par Florent Poussineau.
  • 20h30 > Ouverture de l’exposition. Visite nocturne.

Samedi 14 septembre

  • 10h-19h > Ouverture de l’exposition
  • 20h > Repas non thématique, place du Four. Réservation indispensable, cliquer ici pour réserver.
  • 22h > Performance sonore et visuelle, art inopiné, Siegfried Wappler et Anne-Marie Jeannou “Effervescence”. Set Siegfried Wappler Happy Music. Accès libre et gratuit

Dimanche 15 septembre

  • 10h-19h > Ouverture de l’exposition

La thématique : Histoire (s)

Cette vingtième édition du festival « Des artistes chez l’habitant » est l’occasion de se pencher sur cette aventure improbable, qui perdure pourtant encore aujourd’hui. L’occasion de regarder le chemin parcouru, de s’interroger sur cette histoire en marche, mais aussi, et surtout, d’en imaginer le futur.
C’est sous ce terme d’« histoire », au sens large, que se placera donc cette session, permettant d’aborder tant les moments uniques permis et offerts par ce festival, que la vision toujours acérée des créateurs sur les bouleversements de nos sociétés contemporaines, en perpétuelle évolution. Entremêler les « petites » histoires et la « grande » Histoire. Privilégier la rencontre, l’échange, l’interaction, tout en portant un regard particulier sur l’évolution du monde, comme seuls peuvent et savent le faire les artistes. Sans nécessairement parler d’« archéologie contemporaine » ou d’« anthropologie du quotidien », nombre d’artistes travaillent en effet à relire l’histoire, à en proposer une approche décalée, qui s’échappe du discours dominant, ou permette de faire ressurgir de nouveaux éléments. Ont émergé ces dernières années de nombreuses pratiques cherchant à se faire les relais d’une Histoire « officieuse », qui se serait construite en marge du récit officiel, offrant ainsi un nouveau point de vue sur des événements passés sous silence ou désormais oubliés. Tous ces artistes chercheurs, à la frontière entre historiographie, archéologie, sociologie et/ou anthropologie, s’emparent de ces mouvements ésotériques ou politiques restés dans l’ombre des idéologies dominantes, portent une attention particulière à ces moments qui ont échappé à l’Histoire pour tenter de la réécrire, d’en offrir une version alternative et modifier notre regard. Cela passe par le Storytelling, l’exhumation d’informations et de documents négligés ou mal interprétés, une réflexion sur la mémoire – fictive, refoulée, fantasmée –, mais également par la résurgence de rites oubliés ou bien encore la convocation de formes de culture vernaculaire et traditions folkloriques, païennes ou paganistes, afin d’élaborer de véritables mythologies. Espérons qu’après avoir découvert les propositions des dix artistes invités, vous ayez vous aussi de nombreuses souvenirs à transmettre, qui continueront d’écrire l’histoire unique de ce festival.
~ Antoine Marchand

Catalogue

Emmanuel Simon | Histoire(s)

Artiste invité dans le cadre du festival « Des artistes chez l’habitant 2019 – Histoire(s)« 

Emmanuel Simon (1989) vit et travaille à Noisy-le-Sec.

La pratique d’Emmanuel Simon consiste, notamment, à questionner les codes de l’exposition et la place de l’individu dans le collectif. Que ce soit lors de ses résidences ou de ses participations à des expositions, il sollicite des artistes afin que de travailler ensemble. Cela va de la formation d’un collectif éphémère pour créer des oeuvres collaboratives à la création d’un groupe qui va concevoir une exposition collective. Sa position d’auteur omniscient vis-à-vis de son propre travail est ainsi mise à mal, questionnée. Un renversement du rapport à l’autorité s’opère : la sienne se dissout dans ces groupes où toutes les décisions sont prise de manière collégiale, tandis qu’il emprunte celle des jurys et commissaires d’exposition, en subtilisant momentanément leur pouvoir décisionnaire.

Philippe Puxeddu reçoit Emmanuel Simon